Son 4ème album, XIX, est consacré aux poètes du 19ème siècle influencés par Charles Baudelaire. CORdIER vous en donnera un aperçu acoustique accompagné d’Oriane à la basse et aux chœurs au cours d’un showcase sans flonflon ni trompette Moment convivial, comme dans un salon, où le duo ne manquera pas d’interpréter quelques autres titres de son répertoire chanson extraits des précédents opus ou inédits.
Il y a Bashung, Gainsbourg, Miossec, Biolay, Mickey 3D dans des univers chansons proches de celui de ,mais depuis des années… CORdIER fait du CORdIER !
Au programme : – Il pleure dans mon coeur (Verlaine) – Le poison (Baudelaire) – La mort des amants (Baudelaire) – Le bateau ivre (Rimbaud) – La chanson du mal aimé (Apollinaire) – Rue des fleurs (Hommage à Jean-Michel Maulpoix – Goncourt Poésie 2022) + chansons de précédents albums et inédits
Entre 10 et 12 titres acoustiques mêlés d’échanges avec le public.
Du poison de Baudelaire aux alcools d’Apollinaire Spectacle tout public, scolaires à partir de la 3ème.
TABLEAU NOIR propose un 2ème volet à sa création sur Les Fleurs du Mal avec ce spectacle poético-musical chanté consacré aux poètes du 19ème influencés par Charles Baudelaire, sur fond de pop-rock en trio basse/batterie/guitare.
5 poètes, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé et Apollinaire pour 11 titres, 11 récitations à apprendre en chantant et à découvrir d’une façon aussi originale que décalée.
Ces titres ont fait l’objet d’une production studio et discographique de CORdIER (guitare/chant dans le spectacle de TABLEAU NOIR)
Au programme De 1857 à 1913, une lame décisive déchire la poésie française. Issue du romantisme, une voix neuve choque le bourgeois : Baudelaire, le mage des Fleurs du mal (1857), même romantique de naissance, inaugure une autre poésie.
Par ses thèmes électifs – la mort, le voyage, le vin ou le poison de l’amour dans des lits pleins d’odeurs légères –, par la finesse de bijoux sonores, l’âme du symbolisme crée le poème nouveau : plus rien ne sera comme avant.
La direction prise est la musique, comme pour Verlaine, pour qui cet art passe avant toute chose au bruit doux de la pluie, ce qu’illustre aussi, en des accents plus rauques de tohu-bohus, son amant, Rimbaud, adepte de la bohème ou de l’ivresse maritime, ou encore Mallarmé, maître de l’hermétisme tout à son aboli bibelot d’inanité sonore. Il en va de même, de la belle aube au triste soir, des audaces si classiques d’Apollinaire.
En moins de soixante ans, la poésie française s’offre le luxe d’un âge d’or, cinq voix magistrales, autant que de doigts à la main qui écrit, un arc moderne, une lame de fond.
Les poèmes interprétés dans XIX Charles BAUDELAIRE : Le Voyage / Le Poison / La mort des amants / A propos d’un importun / Les Bijoux Arthur RIMBAUD : Le Bateau Ivre / Ma Bohème Paul VERLAINE : Il pleure dans mon cœur / Art poétique (de la musique) Stéphane MALLARMÉ : Ses purs ongles très haut Guillaume APOLLINAIRE : La chanson du mal aimé